Les secrets des centenaires d’Okinawa

À défaut de déménager dans un archipel au sud du Japon ou en Californie, hotspots de la longévité, on peut s’inspirer de leurs pratiques pleines de bon sens pour vieillir heureux et en bonne santé !

L’île d’Okinawa est devenue une véritable référence en termes de longévité puisque les centenaires y sont trois fois plus nombreux que dans les pays occidentaux. Si, un jour, vous visitez Ogimi, le village qui abrite la plus grande concentration de centenaires, vous pourrez lire sur une stèle : « À 80 ans, tu n’es qu’un enfant. Si, à 90 ans, la mort vient te chercher, dis-lui d’attendre jusqu’à 100 ans. » Ce petit paradis japonais ferait partie des zones bleues de la planète décrites par Dan Buettner de la National Geographic Society. D’après des études scientifiques, il existe cinq endroits dans le monde où l’espérance de vie est bien meilleure qu’ailleurs : la Grèce, le Costa Rica, la Sardaigne, la Californie et Okinawa. Ces cinq zones partageraient certaines habitudes alimentaires et certains modes de vie. L’éducation de la population par les pouvoirs publics en matière de santé jouerait également un rôle majeur dans l’amélioration de l’espérance de vie. 

Les cinq piliers de la longévité

À Okinawa, la longévité des habitants est scrutée à la loupe depuis plus de trente ans dans un centre de recherche de l’université internationale de l’île. Une légende raconte également qu’au VIIsiècle, l’empereur de Chine y envoya des espions pour percer les secrets d’immortalité de ses habitants. Selon le docteur Makoto Suzuki, le principal auteur de l’étude sur les centenaires d’Okinawa, l’art de vieillir se fonderait sur une philosophie de vie qui s’appuie sur cinq piliers : une alimentation saine, la pratique d’activités physiques régulières, une approche positive de la maladie, un esprit communautaire et l’ikigai, un concept philosophique qui consiste à donner du sens à sa vie.

Aliments miracles et oreilles de cochon

L’archipel d’Okinawa possède des aliments miracles qui n’existent nulle part ailleurs : le goya, une sorte de concombre amer local bourré de vitamines B, C et K ; le shikuwasa, un agrume aux vertus anti-inflammatoires ; des patates douces violettes aux nutriments très bénéfiques ; vingt variétés de tofu ; le loofah, une variété de courgettes aux pouvoirs antioxydants.

Il y a cinquante ans, tandis que les riches consommaient du riz blanc, les populations les plus pauvres (fermiers et pêcheurs) se nourrissaient exclusivement de patates douces riches en bêta-carotène et en vitamines B1, B2, B9, C, E, mais à faibles teneurs en graisse. Plus adeptes du poisson que de la viande, les Japonais ne consomment quasiment aucun produit laitier. Seule bizarrerie de leur régime alimentaire : les oreilles de cochon marinées. Ce plat, dont les îliens d’Okinawa raffolent, constitue la seule source naturelle de chondroïtine, un nutriment efficace pour lutter contre l’arthrose. A contrario, ils consomment beaucoup de soja sous toutes ses formes, légumineuse riche en phyto-estrogènes aux effets antioxydants, anti-cancer et anti-ostéoporose. En outre, la cuisson lente issue de la cuisine traditionnelle japonaise permet de conserver toutes les propriétés bénéfiques des aliments. Les fruits et légumes représentent 58 % de leur alimentation. Côté boissons, les habitants d’Okinawa boivent de l’eau fraîche, du thé au jasmin ou du thé vert, et parfois de l’awamori en petite quantité (un alcool local à base de riz et de champignons noirs). 

Déguster en pleine conscience 

À Okinawa, on pense que la manière de manger est tout aussi importante que les aliments qu’on avale. Il faut manger avec parcimonie hara hachi bu, en petites quantités kuten gwa et en pleine conscience, en pensant aux pouvoirs de guérison des aliments nuchi gusui. Le régime riche en glucides végétaux d’Okinawa partage des caractéristiques communes avec les régimes méditerranéen et anti-hypertension (communément appelé Dash). En tant qu’européen, il nous suffirait donc de privilégier fruits exotiques, légumes, épices, aromates et algues, mais aussi de consommer du poisson trois fois par semaine pour être en meilleure santé. Il nous faudrait également limiter notre consommation de viande et de produits laitiers, en les remplaçant par des céréales complètes et des fruits secs. Craig Willcox, l’un des auteurs du best-seller The Okinawa Programa testé ce régime miracle sur 150 Américains âgés de 40 à 69 ans. Après quatre semaines seulement, ses patients ont connu une perte de poids significative et ont vu leur taux de cholestérol et leur pression artérielle baisser. 

Se réveiller avec radio gymnastique 

À Okinawa, la majorité des centenaires font du sport ou s’adonnent à des activités physiques quotidiennes. Le découragement lié à une certaine fragilité est considéré comme un écueil dans lequel il ne faut pas tomber. Les personnes âgées sont encouragées à rester autonomes le plus longtemps possible afin de réaliser les tâches ménagères quotidiennement. Chaque matin, la plupart des seniors d’Okinawa écoutent Rajio Taiso (radio gymnastique) pour pratiquer la callisthénie nationale : des cours de gymnastique diffusés à la radio et à la télévision tous les matins à 6 h 30, depuis 1928 ! À l’école, ces mouvements font office d’entraînement de gymnastique et, en entreprise, ils aident à bien démarrer sa journée ou se détendre à la pause. 

Un peu de travail et mille activités 

Cette chorégraphie fascinante est conçue pour convenir à toutes les générations. On peut même pratiquer cette gymnastique assis lorsqu’on est handicapé ou trop faible pour tenir sur ses jambes. La plupart des Japonais connaissent ses mouvements depuis leur plus tendre enfance. La callisthénie est inscrite dans leur routine quotidienne et prône un certain respect de son corps. En parallèle, la plupart des centenaires d’Okinawa continuent à travailler quelques heures par jour aussi longtemps qu’ils le peuvent pour se rendre utiles et s’entretenir physiquement. Adeptes du mode automatique, ils font tous les petits trajets à pied. Et quand ils ne peuvent plus travailler, ils cultivent souvent un potager ou pratiquent le ground golf, un sport proche du golf auquel on joue avec un maillet. Les Japonais ont plus conscience que les Occidentaux des bienfaits de l’activité physique sur leurs artères, le sommeil, le ralentissement du vieillissement, le diabète et l’ostéoporose. C’est pourquoi, malgré leur âge, ils s’adonnent à mille activités. 

Maladie considérée comme un défi 

À Okinawa, vous l’avez compris, on pense que bouger et surveiller son alimentation permet de tenir à l’écart les maladies. Parallèlement, ces îliens accordent beaucoup d’importance au suivi médical régulier. Quand les problèmes de santé liés à l’âge surviennent, c’est qu’ils ne peuvent pas être évités et qu’il faut les accepter. Patience, tolérance et résilience permettent de panser ses blessures. La maladie est considérée alors comme un défi à relever. Il est primordial, dans ce cas précis, de maintenir une bonne qualité de vie et de se fixer de nouveaux objectifs. Pour prévenir la dégénérescence cérébrale, la plupart des habitants d’Okinawa lisent les journaux tous les matins pour se tenir au courant des évolutions du monde. Cette habitude leur permet également d’avoir des sujets de conversation avec les plus jeunes. 

Auto-évaluation et pouvoir spirituel 

Au Japon, les cahiers d’entraînement mental pour adultes existent depuis des décennies. Au programme : des exercices d’écritures kanji, du calcul mental, de la lecture et des copies de mantras bouddhistes. Toujours dans l’objectif de promouvoir l’autonomie des personnes âgées, les professionnels de santé les incitent à s’auto-évaluer dans tous les domaines de leur vie : physique, mental, social et même spirituel. D’après le docteur Suzuki, ce dernier volet expliquerait à lui seul la plus grande longévité des femmes. Le fait d’avoir une motivation supplémentaire pour se lever le matin serait suffisante pour faire la différence. À Okinawa, cette spiritualité s’exprime à travers l’unai-gami, une invocation de l’esprit des ancêtres qui apporte réconfort et protection. On demande aux puissances supérieures de l’aide pour avoir la force de continuer son chemin. Les femmes sont reconnues comme ayant un pouvoir spirituel bien supérieur à celui des hommes. 

Brassage des générations et cercles d’amis pour la vie 

Le plus surprenant quand on visite Okinawa, c’est l’immense brassage des générations. Les vieux ne sont pas relégués dans des quartiers réservés, comme en Floride, ou encore cachés dans des maisons de retraite comme en France. Ils sont partout, la plupart du temps souriants, alertes et présents dans tous les pans de l’économie. Les habitants de cette île ont compris plus qu’ailleurs l’importance de se sentir utiles dans la société. Ils n’hésitent donc pas à solliciter les anciens pour les tâches à leur portée. Les petits-enfants et arrière-petits-enfants entretiennent souvent des relations étroites basées sur le respect de la nature, l’amour, la spiritualité et le plaisir de transmettre. Les vieux Japonais ont souvent connu la guerre et des catastrophes naturelles, comme le séisme de Kantō, ou encore la famine. Témoins de périodes traumatisantes, ils connaissent la valeur de la paix et l’importance de la solidarité pour surmonter les épreuves. S’ils n’hésitent pas à tendre la main tant qu’ils sont valides, ils n’hésiteront pas à demander de l’aide le jour où ils se sentiront plus fragiles. Les seniors d’Okinawa ont souvent un large cercle d’amis malgré leur grand âge car ils fréquentent des personnes de toutes les générations. Ils ont aussi un moai, un cercle d’amis pour la vie, où ils partagent leurs joies et leurs tristesses. Il semble donc que l’amabilité, l’optimisme, la curiosité et la sociabilité soient de mise pour vieillir bien entouré. 

Ikigai

7 clés pour trouver sa raison d’être

Le concept japonais d’ikigai, cher à l’île d’Okinawa, se traduit par « joie de vivre » ou « raison d’être ». Des petites choses pour certains, une grande mission pour d’autres ! Décryptage de cette méthode inspirante pour vieillir heureux.

L’ikigai est ce qui vous donne envie de vous lever le matin. Si, au Japon, ce terme est utilisé à tort et travers pour déclamer que telle ou telle chose est votre kiff absolu, il a une tout autre portée à Okinawa. Sur cette île, l’ikigai est une véritable philosophie pour s’accomplir et un secret pour vivre centenaire. L’ikigai n’est pas un dessein que l’on veut réaliser par vanité (il est rarement financier), mais quelque chose qui pourrait nourrir notre âme et apporter un peu de bonheur autour de nous. Comme le dit Caroline de Surani dans son joli livre Mon Programme Ikigai, paru aux éditions Marabout, ce concept induit à la fois l’idée de réalisation de soi et une contribution à la société.  Le concept japonais d’ikigai, cher à l’île d’Okinawa, se traduit par « joie de vivre » ou « raison d’être ». Des petites choses pour certains, une grande mission pour d’autres ! Décryptage de cette méthode inspirante pour vieillir heureux.

1. Recentrez-vous 

Qui aviez-vous envie de devenir à l’âge de 16 ans ? Qu’est-ce qui vous tenait tant à coeur et que vous n’avez jamais réalisé ? Arrêtez de vous fondre dans le moule de la société en vous mettant en mode automatique et rappelez-vous ce qui a forgé votre personnalité : vos valeurs, vos passions, vos centres d’intérêt, vos zones de génie (ces activités dans lesquelles vous excellez et sources de bonheur). Nourrissez votre vraie nature avec des pratiques qui n’ont pas forcément d’objectif précis, mais qui vous font du bien à l’âme, au coeur ou au corps. Rappelez-vous que l’improductivité ressentie à certains moments alimente la concentration et la performance à d’autres. Répétez vingt fois : « Je ne suis pas un robot, mais un être humain doté d’une âme et d’un corps dont je dois prendre soin. » Suivez vos intuitions et observez les synchronicités, ces événements qui, en apparence, n’ont pas de lien de causalité mais qui, associés les uns aux autres, semblent vous indiquer la voie à suivre. Accordez-vous du temps rien que pour vous et apprenez à relâcher la pression. 

2. Débarrassez-vous de vos croyances

Dans un pays où, dès la maternelle, on vous met une étiquette sur le dos, il est bien difficile de ne pas avoir de croyances limitantes. La confiance en soi devrait être une cause nationale. À qui la faute ? Au système éducatif, au pessimisme économique, social et médiatique, mais aussi à nos parents anxieux qui ont déversé toutes leurs peurs quant à nos capacités de réussite à différents moments de notre parcours scolaire. Comment vous y prenez-vous pour vous savonnez la planche et échouer ? Quelle idée préconçue entretenez-vous sur vous-même ? Quels sont les vieux schémas liés aux traumatismes de votre passé dont vous aimeriez vous délester ? Quelles sont les injonctions (les auto-ordres) et pensées automatiques qui vous polluent la vie ? Enfin, par quoi aimeriez-vous remplacer ces mauvais traitements que vous vous infligez ? Apprenez à voir les échecs comme des sources d’apprentissages prolifiques, à analyser vos scénarios de réussite (vos succès), à vous pardonner vos erreurs et à vous féliciter pour vos bonnes actions. 

3. Connectez-vous à la nature

Rien de tel qu’une bonne balade dans un poumon de verdure pour retrouver un peu de sérénité ! Au Japon, le Shinrin-yoku (communément appelé « bain de forêt ») est considéré, depuis 1982, comme de la médecine préventive. Une balade de deux heures sans but permettrait de renforcer le système immunitaire, de faire le plein de phytoncides (des molécules rejetées par les arbres), de diminuer la pression artérielle et le taux de glycémie et, enfin, d’améliorer significativement la concentration. Jean-Marie Defossez, auteur du livre Sylvothérapie, le pouvoir bienfaisant des arbres explique qu’il ne faut pas entrer dans une forêt, mais laisser la forêt entrer en vous. Par ailleurs, d’après la naturopathe Laurence Monce, les effets de ces escapades seraient différents selon les essences d’arbres rencontrés : les sapins auraient un effet tonifiant, alors que les feuillus (chêne, bouleau, peuplier, etc.) auraient des pouvoirs relaxants. En outre, les Japonais ne manquent jamais le hanami, la période des cerisiers en fleurs au printemps, et le momijigari de l’automne au moment où les feuilles d’érable prennent une coloration rouge. Cette tradition est tellement populaire qu’il existe même un calendrier indiquant les dates prévues de coloration des arbres pour chaque région de l’archipel. 

4. Trouvez du sens à votre vie

Les centenaires d’Okinawa ont pratiqué sans le savoir la logothérapie développée par l’éminent psychothérapeute autrichien Viktor Frankl. Survivant des camps de la mort, ce dernier avait pu observer que les rescapés de l’Holocauste n’étaient pas ceux qui avaient la constitution la plus solide, mais ceux qui avaient trouvé un sens à leur existence ou un but à accomplir. « Logo » provient du grec « raison », qui signifie sens. En logothérapie, la recherche du sens l’emporte sur nos pulsions fondamentales. Chaque sujet doit trouver et se donner une raison unique et singulière d’exister. Elle seule peut combler l’exigence existentielle et spirituelle de l’âme humaine. Il y aurait donc plusieurs façons de trouver son ikigai : être en phase avec ses valeurs (être quelqu’un que l’on pourrait admirer) ; se fixer un ou plusieurs objectifs (une ou plusieurs missions) ; se sentir utile aux autres ou faisant partie d’une communauté ; être porteur d’un message que l’on voudrait transmettre ; avoir une dimension spirituelle en croyant faire partie d’un tout qui nous dépasse (l’idée de transcendance).

5. Vivez les yeux grands ouverts

Regardez la vie comme une source d’opportunités intarissable et ayez l’ambition de vous maintenir en forme et de progresser intellectuellement. Ayez un regard bienveillant sur les autres et chamboulez votre routine le plus souvent possible. Appréciez ce qui se présente de bénéfique dans votre journée et remerciez le ciel de ces petits moments de bonheur. Soyez curieux et testez de nouvelles expériences : une discipline sportive qui fait fureur, une exposition insolite, un restau qui vient d’ouvrir, un album que vous n’avez jamais écouté ou un vide-grenier auquel vous aimeriez participer. En outre, nul besoin d’être riche pour découvrir de nouveaux territoires ! Vous avez forcément un collègue avec qui vous n’avez jamais discuté, un chemin que vous n’avez jamais emprunté ou un parc que vous avez toujours voulu découvrir. Forcez-vous à utiliser vos cinq sens pour vous sentir encore plus vivant et chanceux d’exister. En vieillissant, refusez de vous mettre des limites sous prétexte que votre corps est plus fragile. Focalisez plutôt sur les bénéfices que sur les risques. Continuez à vous challenger physiquement et intellectuellement pour tout ce qui peut vous procurer du plaisir. On n’est jamais trop vieux pour jouir de la vie !

6. Allégez-vous du matériel

Selon l’experte de l’ikigai Caroline de Surany, les adeptes du minimalisme vivent avec cent objets. Les Japonais ont même un terme pour désigner le strict nécessaire. Wabi signifie être satisfait avec une cabane, un bol de légumes, un tatami, le bruit de la pluie et le bonheur des choses simples. Plus prosaïquement, l’idée de base, c’est d’acheter moins et mieux, à savoir des choses durables, et de se débarrasser de tout ce qui ne sert à rien. Quand vous faites entrer une chose chez vous, vous devez en faire sortir une autre. Et s’il vous manque quelque chose, vous devez pratiquer le Kufu, l’art de la débrouillardise et du détournement d’objet. Encore une fois, la méthode KonMari, expliquée dans l’excellent livre La Magie du rangement, aidera celles et ceux qui veulent faire du vide dans leur maison et dans leur tête.

7. Entourez-vous d’amis

Faire partie d’un cercle d’amis fidèles permet d’avoir une ligne directrice dans sa vie. Il est toujours bénéfique d’avoir des proches qui peuvent vous remémorer qui vous êtes quand vous vous égarez. Les BFF sont toujours là pour nous remettre face à nos contradictions et pour nous rappeler que nous savons nous relever quand un échec survient. On possède généralement des valeurs communes et des centres d’intérêt similaires. De plus, en vieillissant, on apprécie avoir des amis qui ont connu des proches décédés pour évoquer les bons moments du passé. Sur l’île d’Okinawa, chaque enfant se voit attribuer cinq personnes de toutes les générations comme une tribu protectrice. Si, dans l’enfance, ce clan se réunit pour jouer, à l’âge adulte, il se reconstitue une fois par mois pour parler des soucis, échanger des idées, s’entraider et se soutenir. En gardant un esprit positif et une appétence pour les autres, on peut se faire des amis à tout âge et de toutes les générations. Une richesse dont on serait stupide de se priver et une autre clé de longévité. 

Libre Mon programme Ikigai, aux éditions Marabout

Mon programme Ikigai, 12 semaines pour trouver le secret de votre bonheur, Caroline de Surany (alias Caroline Daily)

Caroline de Surany est auteure, coach, naturopathe et conférencière. Dans son livre Mon programme Ikigai, elle propose un accompagnement en 12 semaines pour trouver le secret du bonheur. Vous y trouverez également une multitude d’exercices de développement personnel (plus de soixante-dix !) pour apprendre à vous connaître et trouver le moteur de votre vie. Éditions Marabout (15,90 euros)

TOO#33

Amélie Rivet

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Amélie Rivet

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